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Les visages d’ANDES : Découvrez Khaoula, ancienne salariée en insertion à Rungis

 

Publié le : 1 juin 2025

Les 5 chantiers d’insertion ANDES accompagnent chaque année près de 200 salariés en parcours de réinsertion professionnelle. Grâce à ces programmes, les salariés peuvent acquérir les compétences et les outils nécessaires pour réintégrer le marché du travail. Nous sommes fiers de vous présenter aujourd’hui le parcours de Khaoula Hadfi ancienne salariée en insertion à Rungis.

Peux-tu te présenter en quelques mots ? Quel est ton parcours ?

Je m’appelle Khaoula, je suis arrivée en France en 2016 pour suivre les activités professionnelles de mon mari. J’occupais avant un poste de technicienne support qualité dans le textile mais ce métier n’existait quasiment pas ici. C’était difficile de trouver un travail car je n’avais pas de mode de garde pour mon enfant. On m’a proposé le RSA mais je n’en voulais pas. Je voulais travailler !

J’ai commencé des petites missions, mais rien de pérenne. C’est à ce moment-là qu’une connaissance m’a présenté Sophie, une accompagnatrice socioprofessionnelle du chantier d’insertion ANDES à Rungis.

Comment s’est déroulée ton expérience chez ANDES ? Qu’est-ce que cela t’a apporté ?

Je suis arrivée en 2021 chez ANDES, j’y suis restée 8 mois. J’ai commencé à m’occuper du tri des fruits et légumes puis de la préparation de commandes pour les épiceries mais aussi pour d’autres structures d’aide alimentaire.

Cette mission me tenait à cœur car je savais à qui étaient destinés ces produits, ayant bénéficié moi-même de cette aide alimentaire. J’avais comme projet de faire un CAP Petite Enfance.

Mais après l’obtention du certificat de conduite pour les engins électriques, je me suis dit “pourquoi pas m’orienter vers la logistique ? ”.

Grâce à ANDES et son équipe, j’ai pu obtenir un CDI chez leur partenaire Carniato en tant que manutentionnaire et gestionnaire de stock. Tout se passe très bien. Je suis désormais ambassadrice ANDES chez Carniato, ça me permet de revoir les équipes et d’accompagner d’autres salariés qui pourraient trouver un poste dans cette entreprise.

Le mot de la fin ?

Humainement, ANDES était un vrai refuge. On travaille mais on discute aussi, on plaisante. Il y avait toujours de l’écoute.

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