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Sarah AÏT BENALI est en charge du développement de l’association. Son quotidien est rythmé par de multiples projets qui viennent en soutien des épiceries solidaires. Découvrez son parcours et ses missions !

 

Quel est ton parcours ? Comment es-tu arrivée chez ANDES ?

J’ai fait un parcours généraliste à Sciences Po Paris dont un master en droit. J’ai passé le barreau et je suis devenue avocate pendant près de 4 ans. J’ai ensuite décidé de faire une reconversion professionnelle car je voulais avoir un travail qui avait plus de sens et d’impact.

Je suis arrivée chez ANDES en mai 2021. C’est une association qui allie plusieurs sujets qui me tiennent à cœur : l’alimentation saine et durable, la dimension écologique notamment avec la lutte contre le gaspillage alimentaire et l’impact social.

 

 

Quel est ton rôle chez ANDES ? Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?

 

Je suis responsable développement de l’association. C’est un métier qui me permet de voir et faire une multitude de choses en lien avec l’ensemble des activités de l’association ! Tout d’abord, il y a une partie management d’équipes des chargés de développement qui s’occupent de la création des épiceries solidaires. Ce qui en découle c’est aussi la recherche de financements, le plaidoyer autour du modèle des épiceries solidaires et la conciliation des attentes des partenaires avec les réels besoins du terrain.

Je m’occupe également de la conduite et de la coordination de projets notamment concernant le déploiement de nouveaux chantiers d’insertion ANDES : de la recherche de lieux d’implantation, de partenaires et de financements jusqu’au recrutement des équipes.

Ce que j’aime dans mon métier c’est tester de nouvelles choses, j’expérimente. Par exemple, le projet des points de vente “mon panier primeur et solidaire” implantés dans les quartiers prioritaires du Val-de-Marne est né à mon arrivée chez ANDES. Et aujourd’hui, les points de vente fonctionnent très bien, répondent à de forts besoins et il y a des perspectives de développement.

En résumé, je contribue à faire naître des épiceries solidaires, des chantiers d’insertion et plein de projets en faveur de l’alimentation durable. C’est un métier très concret, à court ou moyen terme, et très humain !

 

 

Quelles sont les compétences nécessaires pour avoir ton métier ?

Beaucoup de polyvalence pour jongler entre les sujets : à la fois entre les différentes thématiques liées au développement de l’association mais aussi sur des volets très différents : ça peut aller d’une question management jusqu’à la visite d’un local pour un chantier d’insertion en passant par la rencontre d’un partenaire qui découvre nos activités. Il faut donc faire preuve d’adaptabilité et être une bonne communicante pour échanger avec des personnes très différentes.

Mon précédent travail d’avocate m’aide beaucoup dans mon quotidien pour les dépôts de demandes de financement, la rédaction de bilans mais surtout convaincre et faire du plaidoyer auprès d’une multitude d’acteurs que je ne connaissais pas avant ! Ma formation me permet également de comprendre les mécaniques juridiques et financières pour le développement des chantiers d’insertion.

 

Le mot de la fin ?

Je ne sais pas vraiment de quoi demain sera fait et c’est ce que j’aime dans mon métier : il faut proposer de nouvelles idées et inventer de nouveaux projets qui auront un réel impact social !

 

Découvrez prochainement un nouveau visage d’ANDES !